FOCUS : BERGER
« Mes gestes sont là pour révéler quelque chose qui ne m’appartient pas » nous dit Mélanie Berger.
Véritable théâtre des apparitions, des disparitions et des émanations, la démarche de Mélanie Berger célèbre le transitoire de phénomènes et de mondes en devenir. Ses dessins déploient des cosmogonies fugitives au sein desquelles se rencontrent l’infiniment petit et l’infiniment grand ; où les tâches, moisissures et pigments deviennent magmas bouillonnants, hypnotiques et incandescents. Des surfaces de gestation, de contemplation et d’éblouissement. Des transformations silencieuses.
« Mes gestes sont là pour révéler quelque chose qui ne m’appartient pas » nous dit Mélanie Berger.
Véritable théâtre des apparitions, des disparitions et des émanations, la démarche de Mélanie Berger célèbre le transitoire de phénomènes et de mondes en devenir. Ses dessins déploient des cosmogonies fugitives au sein desquelles se rencontrent l’infiniment petit et l’infiniment grand ; où les tâches, moisissures et pigments deviennent magmas bouillonnants, hypnotiques et incandescents. Des surfaces de gestation, de contemplation et d’éblouissement. Des transformations silencieuses.
« Mes gestes sont là pour révéler quelque chose qui ne m’appartient pas » nous dit Mélanie Berger.
Véritable théâtre des apparitions, des disparitions et des émanations, la démarche de Mélanie Berger célèbre le transitoire de phénomènes et de mondes en devenir. Ses dessins déploient des cosmogonies fugitives au sein desquelles se rencontrent l’infiniment petit et l’infiniment grand ; où les tâches, moisissures et pigments deviennent magmas bouillonnants, hypnotiques et incandescents. Des surfaces de gestation, de contemplation et d’éblouissement. Des transformations silencieuses.
BOI
La pratique d'Enne Boi s'articule autour de la nature énigmatique de la peinture figurative et ses œuvres remettent en question ses éléments bruts et structurels, empiétant fréquemment sur les territoires de la sculpture et de l'installation. Comme dans une sorte de rébus, le langage visuel de l'artiste repose sur une subtile juxtaposition d'éléments, dans laquelle coexistent des signes instinctifs et des allusions complexes.
La pratique d'Enne Boi s'articule autour de la nature énigmatique de la peinture figurative et ses œuvres remettent en question ses éléments bruts et structurels, empiétant fréquemment sur les territoires de la sculpture et de l'installation. Comme dans une sorte de rébus, le langage visuel de l'artiste repose sur une subtile juxtaposition d'éléments, dans laquelle coexistent des signes instinctifs et des allusions complexes.
LOUMAYE
Hadrien Loumaye se concentre artistiquement sur l'interaction entre le geste et la couleur dans son œuvre. Dans ses peintures, le mouvement incarne une énergie physique distincte, tandis que la palette de couleurs façonne un état de transparence, suscitant des émotions chez le spectateur. Il vise à fusionner l'essence subjective de l'expressionnisme abstrait avec la production méticuleuse du minimalisme.
Hadrien Loumaye se concentre artistiquement sur l'interaction entre le geste et la couleur dans son œuvre. Dans ses peintures, le mouvement incarne une énergie physique distincte, tandis que la palette de couleurs façonne un état de transparence, suscitant des émotions chez le spectateur. Il vise à fusionner l'essence subjective de l'expressionnisme abstrait avec la production méticuleuse du minimalisme.
ROSIĆ
Le travail de Jonathan Rosić poursuit une réflexion sur notre impermanence et nos micro-disparitions. Il répertorie, analyse et amplifie les petites annulations de nous-mêmes et tente de rendre perceptible l’évanouissement du temps. Ses dessins à l’encre de Chine, minutieux, ont pu s’inspirer d’arrêts sur image de films, de photographies personnelles ou trouvées. Ces encres se concentrent sur des instants de dissimulation volontaire ou due au hasard, sur des scènes de solitude, d’oubli et d’incommunicabilité, sur des sujets ou objets s’éclipsant derrière des gestes ambigus.
Le travail de Jonathan Rosić poursuit une réflexion sur notre impermanence et nos micro-disparitions. Il répertorie, analyse et amplifie les petites annulations de nous-mêmes et tente de rendre perceptible l’évanouissement du temps. Ses dessins à l’encre de Chine, minutieux, ont pu s’inspirer d’arrêts sur image de films, de photographies personnelles ou trouvées. Ces encres se concentrent sur des instants de dissimulation volontaire ou due au hasard, sur des scènes de solitude, d’oubli et d’incommunicabilité, sur des sujets ou objets s’éclipsant derrière des gestes ambigus.
FORTUNATOVIĆ
La recherche de l’ordre et du contrôle est omniprésente dans la pratique de Mara Fortunatović et, au-delà, ses œuvres qui semblent être des illusions sont en fait des formes issues de son attachement pour les matériaux. Des plans d’acier inoxydable, de bois ou de plexiglas, parfois peints en blanc, semblent disparaître dans l’espace d’exposition. Ces surfaces doivent être considérées comme le lieu de rencontres de forces complexes, révélant une certaine tension entre l’absence et la présence.