Présentation de la galerie

Fondée en 1991 à Genève par Barbara Polla, Analix Forever est une galerie d’art indépendante et pionnière, dédiée à la liberté de création et à l’expérimentation artistique. Véritable lieu d’échange, elle célèbre la cohabitation harmonieuse des images fixes et animées, à travers le dessin, la poésie, la vidéo, la musique et la performance. Grâce à ces médiums, Analix Forever offre un espace où chaque œuvre devient une porte ouverte vers de nouveaux savoirs imaginaires et l’art du dialogue.

Au cœur de la vision d’Analix Forever, le dessin occupe une place essentielle, à la fois comme pratique artistique intime et comme espace de réflexion universelle. Le dessin prend le chemin le plus court entre le cerveau et l’œuvre : l’idée, la main, le trait, la feuille de papier… D’une richesse infinie, il se déploie dans les projets de la galerie comme un territoire en mouvement, une interface fluide et sensible, reliant le corps, la voix, la pensée et le monde. Le dessin n’enferme jamais, il ne définit aucune frontière, il est ouvert, fluide, accueillant. Des valeurs partagées par Analix Forever.
Ainsi, en 1993 déjà, Analix Forever réunit des dessins de 43 artistes italiens parmi les plus importants de l’époque, Mario Merz, Schifano, Mimmo Paladino, Giulio Paolini, Alighiero Boetti, Sandro Chia,… et publia le catalogue Segni e Disegni ( a cura di Gianni Romano). Et en 2025, Analix Forever proposera à Genève une fête du dessin et de la gravure avec 33 artistes pour qui le dessin est fondateur, en parallèle à leurs pratiques multiples souvent plus connues, telles la photographie, l’écriture, l’installation, la musique, la sculpture : de Mat Collishaw à Dimitris Dimitriadis, de Curtis Santiago à Bob Flanagan, de Laure Tixier à Rachel Labastie…
Pour Drawing Now, Analix Forever réunit deux artistes femmes françaises travaillant dans des interstices, des interfaces entre le langage et le dessin, langage vocal, philosophique, langage dessiné. Dans le dessin de Violaine Lochu, l’interface est la voix explorée comme une palette, la voix devenue dessein, chemin, histoire, manifeste multiculturel, interface inter-espèces. Dans le dessin d’Orianne Castel, l’interface est celle de la philosophie, de l’abstraction intellectuelle, de la grille sensuelle, grille de lecture, grille transparente, interface pleine de failles et d’ouvertures.

Violaine Lochu dessine les voies que prend sa voix, ses cordes vocales quand elles deviennent cordées, et le dessin, au cœur de ses pratiques multiples, précède, accompagne puis rend compte des mouvements de son corps, de sa pensée, de ses performances. Le dessin de Violaine Lochu vocalise, il est partition et nous entraîne dans des mondes colorés où l’animal est roi et la voix, reine.

Orianne Castel dessine à l’encre la texture du monde et de ses représentations picturales ; elle dessine la peinture, le tableau, la forme, la couleur, utilise la poudre de pastel pour réinventer les textures du monde et des villes, les structures des corps et le fil de la pensée. Le dessin d’Orianne Castel est fiction, narration, émotion, volupté, délicatesse extrême.

Présentation du projet

Fondée en 1991 à Genève par Barbara Polla, Analix Forever est une galerie d’art indépendante et pionnière, dédiée à la liberté de création et à l’expérimentation artistique. Véritable lieu d’échange, elle célèbre la cohabitation harmonieuse des images fixes et animées, à travers le dessin, la poésie, la vidéo, la musique et la performance. Grâce à ces médiums, Analix Forever offre un espace où chaque œuvre devient une porte ouverte vers de nouveaux savoirs imaginaires et l’art du dialogue.

Au cœur de la vision d’Analix Forever, le dessin occupe une place essentielle, à la fois comme pratique artistique intime et comme espace de réflexion universelle. Le dessin prend le chemin le plus court entre le cerveau et l’œuvre : l’idée, la main, le trait, la feuille de papier… D’une richesse infinie, il se déploie dans les projets de la galerie comme un territoire en mouvement, une interface fluide et sensible, reliant le corps, la voix, la pensée et le monde. Le dessin n’enferme jamais, il ne définit aucune frontière, il est ouvert, fluide, accueillant. Des valeurs partagées par Analix Forever.
Ainsi, en 1993 déjà, Analix Forever réunit des dessins de 43 artistes italiens parmi les plus importants de l’époque, Mario Merz, Schifano, Mimmo Paladino, Giulio Paolini, Alighiero Boetti, Sandro Chia,… et publia le catalogue Segni e Disegni ( a cura di Gianni Romano). Et en 2025, Analix Forever proposera à Genève une fête du dessin et de la gravure avec 33 artistes pour qui le dessin est fondateur, en parallèle à leurs pratiques multiples souvent plus connues, telles la photographie, l’écriture, l’installation, la musique, la sculpture : de Mat Collishaw à Dimitris Dimitriadis, de Curtis Santiago à Bob Flanagan, de Laure Tixier à Rachel Labastie…
Pour Drawing Now, Analix Forever réunit deux artistes femmes françaises travaillant dans des interstices, des interfaces entre le langage et le dessin, langage vocal, philosophique, langage dessiné. Dans le dessin de Violaine Lochu, l’interface est la voix explorée comme une palette, la voix devenue dessein, chemin, histoire, manifeste multiculturel, interface inter-espèces. Dans le dessin d’Orianne Castel, l’interface est celle de la philosophie, de l’abstraction intellectuelle, de la grille sensuelle, grille de lecture, grille transparente, interface pleine de failles et d’ouvertures.

Violaine Lochu dessine les voies que prend sa voix, ses cordes vocales quand elles deviennent cordées, et le dessin, au cœur de ses pratiques multiples, précède, accompagne puis rend compte des mouvements de son corps, de sa pensée, de ses performances. Le dessin de Violaine Lochu vocalise, il est partition et nous entraîne dans des mondes colorés où l’animal est roi et la voix, reine.

Orianne Castel dessine à l’encre la texture du monde et de ses représentations picturales ; elle dessine la peinture, le tableau, la forme, la couleur, utilise la poudre de pastel pour réinventer les textures du monde et des villes, les structures des corps et le fil de la pensée. Le dessin d’Orianne Castel est fiction, narration, émotion, volupté, délicatesse extrême.