Conan
Entrer dans les dessins de Noemi Conan, c’est se faire absorber par des histoires, par son histoire. Celles de figures féminines, celle de l’artiste. Elles se regardent et nous observent, nous toisent.
L’intensité des scènes déployées est portée par les couleurs vives que Noemi Conan utilise pour faire vivre ses personnages et pour elle-même se mettre en scène. Elle recherche une certaine tension atmosphérique.
Entrer dans les dessins de Noemi Conan, c’est se faire absorber par des histoires, par son histoire. Celles de figures féminines, celle de l’artiste. Elles se regardent et nous observent, nous toisent.
L’intensité des scènes déployées est portée par les couleurs vives que Noemi Conan utilise pour faire vivre ses personnages et pour elle-même se mettre en scène. Elle recherche une certaine tension atmosphérique.
Gardiennet
Cette installation de Valentine Gardiennet présente trois grands dessins montés sur des cadres. Ces œuvres vibrantes rassemblent des personnages colorés, évoquant un univers à la fois carnavalesque et empreint d’émotion. Figures imaginaires, proches et anonymes s’entrelacent dans une ambiance festive et onirique. Les compositions reflètent une subtile alliance entre culture populaire et rêverie poétique.
Une des œuvres de la série, ce dessin explore les tensions entre apparences et identités. Les visages flottants, déformés et expressifs, dialoguent avec une scène grouillante où les figures semblent se fondre dans une ambiance étrange et théâtrale. L’inscription manuscrite, brute et introspective, accentue la dualité entre contrôle et chaos. Gardiennet mêle le grotesque et le fragile pour interroger les normes et les représentations sociales.