WILCKE
Cette œuvre appartient à la série des Architectures de l'Ombre. Comme dans un théâtre de formes, l’artiste assemble, sculpte ou pose simplement les matériaux tels que le papier, le métal ou le Plexiglas. Elle dicte ainsi le rôle de chacun sur la scène et leur donne une voix à travers les matières, les ombres portées et les reflets.
Cette œuvre appartient à la série des Architectures de l'ombre II. Le minimalisme, la géométrie parfaitement maîtrisée et la pureté qui se dégage de son œuvre, remettent en question notre notion du réel. Sommes-nous face à l’œuvre, à la performance ou en présence de l’unique trace d’une création plastique éphémère ?
Cette œuvre appartient à la série des architectures de l'Ombre II.
uel que soit le parti que l’on privilégie, le sentiment de préciosité qui se dégage des œuvres de Géraldine Wilcke est dû à leur qualité formelle autant qu’à leur inexistence matérielle. Ainsi, l’artiste saisit l’insaisissable et nous montre un fragment de seconde qu’elle aura construit en plusieurs heures.
LONGUET
œuvre numérique aléatoire représentant 3 carrés se déplaçant dans l'espace d'un rectangle. Chaque carré touchant le bord du cadre change de direction. Cette œuvre est interactive : on peut changer la couleur de fond, changer le sens de rotation des carrés, modifier la vitesse de déplacement des carrés.
DELECROIX
L’œuvre consiste en une installation d’une série de feuilles A4 accueillant toutes un carré noir et une grille. Dans ces variations, comme un affleurement de ce qui est fixe et de ce qui ne l’est pas, il s’agit d’éprouver la tension de noirs vaporisés sur des fonds blancs et de mettre l’accent sur la dépendance réciproque des supports par le marquage d’un carré noir. Le trait est utilisé pour donner plus de substance, de réalité aux esquisses. Il est le dessin, la représentation visuelle d’un mouvement dynamique, voire brusque, écho du geste employé, qui déforme et produit des formes.
Elément de la Série Néodazzle. La projection picturale trace et trouve dans l’approximation de sont orientation linéaire, un tremblé, un frémissement sensoriel qui coupe court à l’illusionnisme géométrique.
Ce n’est pas seulement le processus de réalisation ou la rapidité d’un passage qui se donne à voir, mais une liberté favorisant un nouveau mode d’apparition de l’espace entre les lignes.
Attachés au sujet du carré, aux règles autoritaires du masquage, ce dessin révèle une émotion intérieure liée à de la matière menant l’expérience de la légèreté.