FOCUS : Žilović
Brankica Zilovic coud, tisse et brode, crée des installations, compositions et dessins. L’oubli, la
perte ou la dégénérescence, moteurs de son travail, ne sont rien de moins que des
appels à de nouveaux recommencements. Par la répétition et le caractère
obsessionnel de ses œuvres, le temps se dilate et affiche une dimension quasi
expiatoire.
Brankica coud, tisse et brode, crée des installations, compositions et dessins. L’oubli, la
perte ou la dégénérescence, moteurs de son travail, ne sont rien de moins que des
appels à de nouveaux recommencements. Par la répétition et le caractère
obsessionnel de ses œuvres, le temps se dilate et affiche une dimension quasi
expiatoire.
Brankica coud, tisse et brode, crée des installations, compositions et dessins. L’oubli, la
perte ou la dégénérescence, moteurs de son travail, ne sont rien de moins que des
appels à de nouveaux recommencements. Par la répétition et le caractère
obsessionnel de ses œuvres, le temps se dilate et affiche une dimension quasi
expiatoire.
Brankica coud, tisse et brode, crée des installations, compositions et dessins. L’oubli, la
perte ou la dégénérescence, moteurs de son travail, ne sont rien de moins que des
appels à de nouveaux recommencements. Par la répétition et le caractère
obsessionnel de ses œuvres, le temps se dilate et affiche une dimension quasi
expiatoire.
Brankica coud, tisse et brode, crée des installations, compositions et dessins. L’oubli, la
perte ou la dégénérescence, moteurs de son travail, ne sont rien de moins que des
appels à de nouveaux recommencements. Par la répétition et le caractère
obsessionnel de ses œuvres, le temps se dilate et affiche une dimension quasi
expiatoire.
Brankica coud, tisse et brode, crée des installations, compositions et dessins. L’oubli, la
perte ou la dégénérescence, moteurs de son travail, ne sont rien de moins que des
appels à de nouveaux recommencements. Par la répétition et le caractère
obsessionnel de ses œuvres, le temps se dilate et affiche une dimension quasi
expiatoire.
Brankica coud, tisse et brode, crée des installations, compositions et dessins. L’oubli, la
perte ou la dégénérescence, moteurs de son travail, ne sont rien de moins que des
appels à de nouveaux recommencements. Par la répétition et le caractère
obsessionnel de ses œuvres, le temps se dilate et affiche une dimension quasi
expiatoire.
Bonnefoi
Hommage à Henri Matisse, ces collages punaisés sur bois sont issus de la nouvelle génération des Ludo.
Les collages muraux de Christian BONNEFOI, aussi appelés Ludo, échappent au cadre quadrangulaire habituel pour se répandre librement sur le mur. Assemblage de papiers de soie peint, incrustations de découpages de d’ensembles colorés, ils sont créés pour l’occasion ou empruntés à d’autres œuvres. Contemporains aux tableaux, ils constituent en quelque sorte une forme d’expérimentation.
Les collages muraux de Christian BONNEFOI, aussi appelés Ludo, échappent au cadre quadrangulaire habituel pour se répandre librement sur le mur. Assemblage de papiers de soie peint, incrustations de découpages de d’ensembles colorés, ils sont créés pour l’occasion ou empruntés à d’autres œuvres. Contemporains aux tableaux, ils constituent en quelque sorte une forme d’expérimentation.
Les collages muraux de Christian BONNEFOI échappent au cadre quadrangulaire habituel pour se répandre librement sur le mur. Assemblage de papiers de soie peint, incrustations de découpages de d’ensembles colorés, ils sont créés pour l’occasion ou empruntés à d’autres œuvres. Contemporains aux tableaux, ils constituent en quelque sorte une forme d’expérimentation.