Présentation de la galerie

Créée en 2004 au Touquet, la galerie se déploie aussi à Paris depuis 2019. Elle défend les courants de l’abstraction géométrique : l’art concret, l’art construit, l’art cinétique ou encore l’art lié à l’architecture ou aux sciences.
Ces formes d’art, structurantes parce que structurées, minimalistes parfois, interrogatives toujours, sont la matérialisation d’une capacité à penser le monde à travers un langage formel certes simple (carrés, cercles, triangles, lignes…) mais en liens étroits avec les sciences, les mathématiques, la philosophie, la poésie voire la spiritualité.

La Galerie présente des artistes d’envergure muséale et internationale, mais offre également ses cimaises aux jeunes artistes en début de carrière.

Pour Drawing Now 2025, la Galerie présente trois artistes dans le secteur Process. Fidèle à sa ligne artistique, la Galerie rend hommage à Malevitch à travers une proposition en trois actes sur la thématique du carré ou du cube noir et/ou blanc en présentant la démarche de trois artistes. Tous les trois abordent le dessin à travers un médium différent : le dessin par la lumière pour Géraldine Wilcke, par la matière pour Laurent Delecroix, par le codage pour Alain Longuet.
Si Géraldine Wilcke capture la trace d'un instant de lumière pour dessiner ses architectures de l'ombre, Laurent Delecroix saisit la trace du geste ou de la matière dans l'espace de la feuille ou de la plaque de plâtre. Quant à Alain Longuet, c'est le déplacement aléatoire de l'algorithme qui engendre la forme. Trois artistes, trois médium, trois process pour un seul objectif : questionner le regardeur et sa perception du dessin.

Présentation du projet

Pour Drawing Now 2025, la Galerie présente trois artistes dans le secteur Process. Fidèle à sa ligne artistique, la Galerie rend hommage à Malevitch à travers une proposition en trois actes sur la thématique du carré ou du cube noir et/ou blanc en présentant la démarche de trois artistes. Tous les trois abordent le dessin à travers un médium différent : le dessin par la lumière pour Géraldine Wilcke, par la matière pour Laurent Delecroix, par le codage pour Alain Longuet.
Si Géraldine Wilcke capture la trace d'un instant de lumière pour dessiner ses architectures de l'ombre, Laurent Delecroix saisit la trace du geste ou de la matière dans l'espace de la feuille ou de la plaque de plâtre. Quant à Alain Longuet, c'est le déplacement aléatoire de l'algorithme qui engendre la forme. Trois artistes, trois médium, trois process pour un seul objectif : questionner le regardeur et sa perception du dessin.