FOCUS : Alireza Shojaian
La série « Le démon blanc et l’arbre en feu » s’inspire de la riche tradition de la miniature perse, en particulier des scènes du Shahnameh, en réimaginant son esthétique à travers une narration contemporaine. Loin des archétypes historiques et des oppositions binaires présentes dans ces récits, Alireza Shojaian inscrit ces personnages intemporels dans un cadre qui remet en question les normes conventionnelles et redéfinit leurs rôles. La couleur devient un dispositif narratif essentiel, enveloppant les souvenirs traumatiques sociétaux dans une palette éclatante, entre beauté et douleur.
La série « Le démon blanc et l’arbre en feu » s’inspire de la riche tradition de la miniature perse, en particulier des scènes du Shahnameh, en réimaginant son esthétique à travers une narration contemporaine. Loin des archétypes historiques et des oppositions binaires présentes dans ces récits, Alireza Shojaian inscrit ces personnages intemporels dans un cadre qui remet en question les normes conventionnelles et redéfinit leurs rôles. La couleur devient un dispositif narratif essentiel, enveloppant les souvenirs traumatiques sociétaux dans une palette éclatante, entre beauté et douleur.
La série « Le démon blanc et l’arbre en feu » s’inspire de la riche tradition de la miniature perse, en particulier des scènes du Shahnameh, en réimaginant son esthétique à travers une narration contemporaine. Loin des archétypes historiques et des oppositions binaires présentes dans ces récits, Alireza Shojaian inscrit ces personnages intemporels dans un cadre qui remet en question les normes conventionnelles et redéfinit leurs rôles. La couleur devient un dispositif narratif essentiel, enveloppant les souvenirs traumatiques sociétaux dans une palette éclatante, entre beauté et douleur.
Alberto Cont
Alberto Cont explore la lumière et la couleur. Agissant comme un intermezzo en musique, l'application successive de lignes de couleurs et de résine crée des transitions graduelles d'un ton à l'autre. Les couches superposées suggèrent une profondeur d'espace, produisent une sensation de mouvement et des effets de matière impalpable. La couleur devient l'élément qui construit le volume et l'espace, et crée des paysages abstraits irradiés par des vibrations lumineuses.
Alberto Cont explore la lumière et la couleur. Agissant comme un intermezzo en musique, l'application successive de lignes de couleurs et de résine crée des transitions graduelles d'un ton à l'autre. Les couches superposées suggèrent une profondeur d'espace, produisent une sensation de mouvement et des effets de matière impalpable. La couleur devient l'élément qui construit le volume et l'espace, et crée des paysages abstraits irradiés par des vibrations lumineuses.
Alberto Cont explore la lumière et la couleur. Agissant comme un intermezzo en musique, l'application successive de lignes de couleurs et de résine crée des transitions graduelles d'un ton à l'autre. Les couches superposées suggèrent une profondeur d'espace, produisent une sensation de mouvement et des effets de matière impalpable. La couleur devient l'élément qui construit le volume et l'espace, et crée des paysages abstraits irradiés par des vibrations lumineuses.
Sandra Vásquez de la Horra
Les œuvres sur papier de Sandra Vásquez de la Horra donnent vie à des personnages étranges et des mondes absurdes cristallisés dans la cire. Ils sont imprégnés de références culturelles, politiques et mythologiques chiliennes, son pays d'origine, et mêlés à ses propres rêves et expériences. À travers une approche très personnelle et un langage plutôt intime, Vásquez de la Horra aborde les concepts plus collectifs et universels des explications de l'existence, la peur de la mort, l'émancipation féminine et la spiritualité.
Les œuvres sur papier de Sandra Vásquez de la Horra donnent vie à des personnages étranges et des mondes absurdes cristallisés dans la cire. Ils sont imprégnés de références culturelles, politiques et mythologiques chiliennes, son pays d'origine, et mêlés à ses propres rêves et expériences. À travers une approche très personnelle et un langage plutôt intime, Vásquez de la Horra aborde les concepts plus collectifs et universels des explications de l'existence, la peur de la mort, l'émancipation féminine et la spiritualité.
Les œuvres sur papier de Sandra Vásquez de la Horra donnent vie à des personnages étranges et des mondes absurdes cristallisés dans la cire. Ils sont imprégnés de références culturelles, politiques et mythologiques chiliennes, son pays d'origine, et mêlés à ses propres rêves et expériences. À travers une approche très personnelle et un langage plutôt intime, Vásquez de la Horra aborde les concepts plus collectifs et universels des explications de l'existence, la peur de la mort, l'émancipation féminine et la spiritualité.