L'artiste mongole Odonchimeg Davaadorj déploie son univers si particulier à travers des œuvres lyriques imprégnées de chamanisme où l'intimité spirituelle et la nature la plus profonde évoquent l'alchimie qui opère entre les corps pour transformer les énergies circulant en nous. Par une approche fusionnelle avec la nature, l'artiste évoque les cheminements intérieurs des âmes et l'essence même de l'existence.

En retraçant la Mémoire comme une expérience à la fois personnelle et collective, l’encre et l’aquarelle s’unissent pour offrir une interprétation suggestive du réel, où l’image devient davantage une évocation qu’une simple représentation. S'inspirant des archives muséales, Arno Luzamba Bompere élabore des récits plastiques où image et texte s'entrelacent dans une forme d'expression allégorique. Les faits historiques y prennent vie à travers un langage lyrique, tandis que les motifs végétaux incarnent les multiples connexions qui, entre passé et présent, façonnent les sociétés humaines.

En retraçant la Mémoire comme une expérience à la fois personnelle et collective, l’encre et l’aquarelle s’unissent pour offrir une interprétation suggestive du réel, où l’image devient davantage une évocation qu’une simple représentation. S'inspirant des archives muséales, Arno Luzamba Bompere élabore des récits plastiques où image et texte s'entrelacent dans une forme d'expression allégorique. Les faits historiques y prennent vie à travers un langage lyrique, tandis que les motifs végétaux incarnent les multiples connexions qui, entre passé et présent, façonnent les sociétés humaines.

En retraçant la Mémoire comme une expérience à la fois personnelle et collective, l’encre et l’aquarelle s’unissent pour offrir une interprétation suggestive du réel, où l’image devient davantage une évocation qu’une simple représentation. S'inspirant des archives muséales, Arno Luzamba Bompere élabore des récits plastiques où image et texte s'entrelacent dans une forme d'expression allégorique. Les faits historiques y prennent vie à travers un langage lyrique, tandis que les motifs végétaux incarnent les multiples connexions qui, entre passé et présent, façonnent les sociétés humaines.

L'américain Riley Holloway a étudié l’art du portrait en Italie. De son contact avec les maîtres anciens, il a retenu l’art de représenter les postures et les traits de caractères de ses modèles, souvent des amis ou de la famille proche.

L'artiste coréenne Stella Sujin s'est appuyée sur l'intelligence artificielle pour la création de ces aquarelles aux motifs de plantes animales hybrides. C'est toute la singularité du paradoxe : rendre hommage aux mediums séculaires à travers un outil ultra contemporain. Ce mélange des genres et des époques contribue à créer un univers étrange, à la fois inquiétant et séduisant, et lui-même virtuel.